Jeune prodige du saxophone découvert il y a trois ans, Guillaume Perret et son orchestre Electric Epic cassent la baraque. Assumant l’héritage du rock progressif des années 70, ils nous charrient une fusion de jazz, de rock, de funk et de métal résolument électrique et contemporaine. Ils réinventent le jazz Métal, une déflagration puissante et cosmopolite qui emporte tout, comme une boule de feu qui nous traverserait de part en part.
Ce n’est pas simplement de la musique, ça bouscule, ça heurte, ça émeut aux larmes, ça cogne et vous secoue les entrailles. Personne ne s’y est trompé : le maestro américain John Zorn en premier, qui signe immédiatement l’enregistrement des français sur son label prestigieux Tzadik.
Le monde du jazz jubile, les scènes rock le réclament, les grands festivals l’invitent, l’engouement du public est immédiat, les médias s’emballent. Ce choc des sentiments digne d’une bataille de titans où les coups pleuvent à foison parle à l’intime.
Indescriptible !