Jeudi 27
Max Bruch (1838-1920) : Concerto pour violon n°1 en sol mineur opus 26
Robert Schumann (1810-1856) : Symphonie n°3 en mi bémol majeur, dite « Rhénane » opus 97
À la tête de la prestigieuse phalange symphonique, Kazuki Yamada nous invite à plonger dans l’âme des romantiques allemands.
Ouverture avec le populaire 1er concerto pour violon de Max Bruch, connu pour une expressivité et un lyrisme mélodique que n’aurait pas reniés Johannes Brahms.
Après ce concerto virtuose, place à la 3ème symphonie de Schumann, une œuvre poétique inspirée par le Rhin, ses paysages et ses légendes, où le compositeur lâche la bride à son imagination éperdue.
Vendredi 28
Figure tutélaire du romantisme russe à la vitalité contagieuse, Tchaïkovski donna ses lettres de noblesse au genre peu considéré de la musique de ballet. En voici justement deux beaux exemples, avec les huit numéros de la Suite de Casse-Noisette, autant de pastilles pittoresques et divertissantes, et Le Lac des Cygnes… qui a eu le destin que l’on sait ! Suite du parcours romantique avec Brahms et quatre de ses Danses hongroises traversées de fulgurances tziganes avant un final enjoué en forme de danses signées Strauss.