Sans se laisser arrêter par ce qui va contre
Finit-on par perdre l’équilibre ?
Dans ce solo, Jean-Baptiste André est motivé par le désir d’un retour au mouvement dansé et à l’équilibre sur les mains, fondement de sa pratique circassienne, pour en faire une matière chorégraphique ; une pièce exploratoire du ressors du corps et de ses articulations, une proposition visuelle et plastique. Dans une présence brute et sans fioriture, le corps s’engage tout entier dans une quête d’équilibre. Il appréhende son environnement dans un ici et maintenant, sans se laisser arrêter par ce qui va contre.